27 mai 2015
Au creux de l'oreille, par Jean-Claude Boyrie.
Au creux de l'oreille. I. « Mon cher Jeff, Je t'écris de Montpellier-la-surdouée, à la terrasse d'un café, le bec en l'air et les doigts de pied en éventail. Seul désagrément : la tramontane, qui souffle fort. J'ai dû lester mes papiers sur la table avec...