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30 avril 2011

Hibakusha : le Survivant, par Jean-Claude Boyrie

Hibakusha : le Survivant.

Fukushima

« 04 67 64 89 86, Artémise coiffure, j'écoute...C'est pour une coloration ?...Vous souhaitez des mèches ? Bien sûr, c'est possible !... Quand pouvez-vous passer ? Cet après-midi ? Oui ça me va !...  J'ai un créneau disponible vers seize heures... Je vous attends. »

La jeune femme est perplexe. Décidément, la dernière trouvaille de Sergio lui reste en travers de la gorge. Quelle drôle d'idée a eu son compagnon de ramener cette croûte ? ? Comme s'il ne lui suffisait pas d'encombrer le domicile conjugal avec sa propre production ! !

La coiffeuse se demande où elle va bien pouvoir fourrer ce tableau. Quel est le fêlé qui peut avoir commis « ça » ? Artémise juge que c'est une composition inclassable, à mi-chemin entre le figuratif et l'abstrait. D'accord, elle n'y connaît pas grand chose, mais la proportion du panneau peint lui paraît inhabituelle, éloignée en tous cas du sacro-saint « nombre d'or ». Elle a beau chercher dans sa tête, elle ne trouve pas de terme assez dur pour qualifier cette huile sur bois ni signée ni datée. Cette oeuvre anonyme représente pour elle une énigme, elle y voit surtout un embarras (encore un) du fait de ses dimensions. Sergio l'a baptisée, on ne sait pourquoi : « Hibakusha » (en Japonais : le Survivant).

La question qui turlupine Artémise est la suivante : combien cette oeuvre bizarroïde a-t-elle coûté ? Le ménage ne roule certes pas sur l'or !

La jeune femme hausse les épaules, réprime un mouvement d'humeur. Bon, le mal est fait. On ne va pas y penser cent sept ans. C'est l'heure d'ouverture du salon de coiffure, il va falloir retrousser ses manches. La clientèle afflue déjà rue des Cagettes. Il y a des hommes et des femmes, des jeunes et des moins jeunes. Pas question de mettre dehors les nouveaux clients qui auraient omis de prendre rendez-vous. Certains feront de bonnes pratiques. Enfin, peut-être... il ne faut décourager personne ! Le travail ne fait pas peur à la coiffeuse. Si seulement son mari se trouvait à ses côtés ! Mais une fois de plus, Artémise est toute seule à gérer la situation. Elle fulmine, mais ne va tout de même rester plantée là comme une conne ! Sergio, Calabrais calibré, peintre du dimanche et chineur impénitent, serait plus utile à l'aider au salon qu'à courir les expositions. Elle n'attend pas de lui bien sûr qu'il pourvoie aux permanentes et autres mises en plis, cela requiert un certain savoir-faire et de l'expérience... Au moins pourrait-il la décharger de tâches moins gratifiantes, mais incontournables, telle la coupe-qui-fait-plus-propre et le coup-de-peigne-du-lendemain-matin.

Car il n'en pas à son coup d'essai. Ce filou a même trouvé une bonne excuse pour se mettre aux abonnés absents. L'expo de la Chapelle des Pénitents blancs, qu'il est censé visiter aujourd'hui, s'intitule opportunément : «Fukushima, mon amour ». Avec un nom pareil, Artémise ne doute pas qu'il s'agisse d'une juste cause. La preuve, la vente des oeuvres d'art s'y fait au bénéfice des sinistrés du Japon. Seulement voilà.... De bonnes intentions suffisent-elles à faire de la bonne peinture ? C'est une bonne question ! Artémise ne sait rien de Fukushima, ne dit rien, mais a sa petite idée sur la réponse. Épouse et commerçante avisée, elle s'abstient d'exprimer des jugements dérangeants.... Mieux vaut avoir l'esprit large quand on vit avec un artiste peintre ....

Car (c'est un constat) : Sergio Buonumano produit beaucoup et vend peu. Ses tableaux - en des états divers d'achèvement - emplissent la cave, s'amoncellent au grenier. Artémise s'efforce tant bien que mal d'endiguer la marée montante. Si l'assaillant vient à gagner le rez-de-chaussée, si par mégarde elle le laisse envahir les pièces d'habitation, alors, faire le ménage rue des Cagettes deviendra un exercice hautement périlleux....

La coiffeuse repense aux péripéties de leur installation. Deux ans plus tôt, le couple avait jeté son dévolu sur ce quartier « branché » du centre ville. Artémise et Sergio avaient acquis, puis retapé de bric et de broc, un édifice classé d'origine médiévale. Il fallait faire face aux interminables exigences des Bâtiments de France... Au prix de beaucoup d'amour, de ruse et de ténacité, la boutique avait pris corps avec ses arcatures, ses murs en pierre de taille et autres poutres apparentes, toutes antiquités dont le public raffole. Car la bourgeoisie bohème de Clapas-sur-Lez est adepte de ce lieu, point de rencontre de diverses formes de culture et contre-culture. Des poètes, des musiciens, des peintres, des intellos-têtes-à-claques s'y croisent sans arrêt... Pour parler franchement, la patronne est plutôt mignonne et de bonne compagnie, cela peut jouer. On lui pardonne d'autant plus aisément de ne pas peindre elle-même, qu'elle s'intéresse aux travaux des autres.

Elle expose les oeuvres d'art par roulement, choisit avec soin des emplacements « ad hoc » pour mettre en valeur non seulement la production de son époux, mais aussi celle de ses client(e)s  Par extension celles des artistes de passage qui le lui demandent gentiment. Cela leur fait tant de plaisir et à elle si peu de peine. À présent, ces expositions tournantes font partie de sa vie et le décor se renouvelle constamment. Le salon d'Artémise connaît un certain succès, elle ne peut que s'en réjouir. Elle jubile tout particulièrement lorsqu'une patiente en bigoudis s'entiche du tableau situé (comme un fait exprès) juste en face d'elle, à la hauteur du séchoir éclectique. Elle espère que la susdite aura la bonne idée de l'acheter... Moralité : plus le spectateur est disponible - et potentiellement réceptif - meilleure est sa perception de l'oeuvre, plus il a le temps de s'en imprégner, donc de l'apprécier....

Il reste encore un espace libre au milieu du mur d'exposition. Si l'on y mettait la dernière acquisition de Sergio, pour voir ce que cela va donner ? Artémise tente le coup, simple curiosité de sa part.... Non, ce n'est pas terrible, à première vue, il faut que le tableau « fasse son trou »... Le soleil est en train affluer par la devanture, peut-être la lumière rasante mettra-t-elle cette oeuvre en valeur ? Effectivement, cet éclairage souligne les aspérités de la pâte, épaisse et rêche à couper au couteau.

« On va bientôt passer au rinçage....

Madame Michu lève la tête de l'album où elle était plongée. Le top model de la page seize lui a manifestement tapé dans l'oeil.

« Je verrais bien quelque chose comme ça pour moi...

  - Vous avez raison, Pomponette ! Cette forme de coiffure donnera du volume à vos cheveux, cela fait casque, en quelque sorte.

  - Vous pensez qu'elle tiendra ?

  - Quelques jours, à moins que vous n'alliez tout de suite piquer une tête dans les vagues. Avec le soleil et la mer, je ne réponds de rien. Ça ne vous ébouillante pas, ma douchette ?

  - Nnnnon, réglez le jet juste un peu moins fort.... Vous croyez que je serai comme sur la photo ?

  - À dire vrai, pas exactement. Ce n'est jamais le cas, vous savez  ! Il faut toujours adapter un modèle à la forme du visage. Je parle du vôtre, bien enbtendu. Pas de la photo du magazine.

  - Ah bon... Moi, je vous fais confiance. »

Artémise examine d'un oeil désabusé la page illustrée que lui désigne sa cliente. Comme c'est trompeur, le papier glacé ! Pour être honnête, Pomponette Michu n'offre qu'une vague ressemblance avec la bimbo du catalogue, même qu'il y a loin de la coupe aux lèvres. Enfin, on fera avec....

Le plus troublant pour la coiffeuse, c'est de contempler dans la glace, derrière le visage de sa cliente, le reflet de l'homme au chapeau bleu sur le mur d'en face. Ce personnage énigmatique, atone, est campé gauchement. Il lui semble en équilibre instable et mal cadré par rapport au reste du tableau. Il titube, émerge de sa gangue de boue, univers déshumanisé, gluant marécage où toute vie s'est engloutie. Radieux, irradiant, l'inconnu se fond à la gadoue en un halo lumineux. Bien qu'en état de parfait dénuement, ce miraculé manifeste pudeur et dignité. On croit voir flotter sur son visage – ou plutôt son absence de visage, car ses traits ne sont pas marqués - un imperceptible sourire.

« Vous avez décidé pour la teinte des mèches ?

  - Pas encore, mais il me semble que des reflets dorés trancheraient sur une coloration générale auburn.

  - Waouh, cela risque de flasher un peu trop : à votre place, je choisirais plutôt la couleur lilas, elle apporterait une nuance raffinée au fond gris cendré, poivre et sel en quelque sorte..

  - Vous n'avez pas peur que ça me vieillisse ?

   - Vous voulez rire ! Allons donc, vous n'avez rien à craindre.... Vous êtes si pimpante, Pomponette ! »

« Comme le monde est fait ! raisonne Artémise in petto ... Nous autres Occidentaux déployons une énergie considérable à tenter d'enrayer la fuite du temps. Sans aucune chance d'y parvenir, car nous savons tous très bien que c'est un combat perdu d'avance. Tout est relatif. À l'autre bout du monde, il y a des hommes et des femmes qui ne fonctionnent pas comme nous. Ils s'arrêtent pas à l'apparence des choses et perçoivent l'espace-temps différemment.

  -   Qui c'est, ce type que vous n'arrêtez pas de regarder dans la glace ?

  - Vous voulez parler du « Survivant » ?

   - Oui, de cette horreur. C'est quoi, ce délire ?

  - Je n'en sais ma foi rien. Sergio m'a ramené ce tableau de la vente de charité, juste à côté. Franchement, je n'ai pas la moindre idée de ce qu'il représente, ni de son auteur. Encore moins de ce que je vais en faire.

  - Ce barbouillage défie le sens commun !

  - Rassurez-vous. Je n'ai pas l'intention de garder ça longtemps. »

Après le départ de sa cliente, Artémise consulta sa montre. Zut ou plutôt chic ! Bientôt sept heures ! Un seul souci, Sergio n'est toujours pas rentré. Sans doute traîne-t-il au café d'en face avec ses copains, allez savoir ! De toutes manières, il est temps de fermer boutique. La coiffeuse range soigneusement ses instruments, ôte sa blouse, balaye les cheveux jonchant le carrelage. Artémise entretient avec eux un rapport sensuel. Les cheveux, c'est une matière attachante, souple, soyeuse, agréable au toucher. En coiffant ses client(e)s, la jeune femme a l'impression de créer par elle-même, de faire une oeuvre d'art vivante. Enfin, chacun voit les choses à sa manière. Un dernier coup d'oeil avant de tout boucler, Artémise hésite un instant avant d'enlever le tableau litigieux. « Décidément, se dit-elle, Pomponette a raison, ce truc-là, c'est bon pour le décrochez-moi-ça. Au fait, on est mardi, jour de ramassage des encombrants. Si je dépose ce panneau sur le trottoir, là, tout de suite, le service de voirie l'enlèvera pendant la nuit. Demain personne n'y pensera plus. »

Aussitôt dit, aussitôt fait. La jeune femme décroche résolument le panneau, mais prend la précaution de le retourner, face peinte contre le sol. Peut-être dans un souci de discrétion. Peut-être aussi pour ne pas voir les larmes du Survivant.

La nuit suivante, Artémise dort d'un mauvais sommeil, entrecoupé de songes affreux. Sergio, toujours égal à lui-même, rentre à point d'heure. Il s'est sur le lit laissé choir (normal pour un coiffeur) a ec la légèreté d'un sac de pommes de terre. Comme si cela ne suffisait pas, voilà qu'il se met à ronfler ; le tic-tac du réveille-matin semble fortement l'incommoder. Ce n'est tout de même pas lui qui sautera le premier du lit quand le réveil sonnera ; les cadences infernales, ce n'est pas son truc.

Entre temps, l'homme au chapeau bleu réapparaît dans l'inconscient d'Artémise. Son image insistante, dérangeante finit par s'imposer. La jeune femme éprouve un vague remords. Ce personnage qu'elle a jeté comme un malpropre s'empare d'elle, la hante à présent. Le malheureux va finir par sa faute à la décharge municipale : une seconde mort attend celui qui a frôlé de si près la première. Mais que signifie ce bras déplié, d'un blanc lumineux, qui se tend sur sa poitrine ? Cette main qui se pose au niveau du coeur, doigts allongés ? Mur de silence et geste de repli.... le Survivant se tait de peur que son cri ne soit perdu. Ce qu'il demande, avec obstination, c'est un statut d'être humain à part entière. C'est-à-dire sa place au soleil. Il veut cesser d'être aux yeux de tous un fantôme désincarné, car il aspire à redevenir lui-même. Quelqu'un pourvu d'une famille, ayant une histoire, un foyer et pourquoi pas ? Une vraie maison dans un village alors que toutes les maisons ont disparu, et que lui-même a vu périr les siens.

Dring... dring.... Le réveil sonne. À contre-temps. Artémise a tout simplement oublié le changement d'horaire. Déjà, la lumière inonde la chambre, le soleil filtre à travers les persiennes, illumine les voilage bleus si légers, légers....

Sergio, cet habituel lève-tard, est déjà debout, comme pour la narguer. Il s'affaire dans la cuisine. Il est apparemment bien luné – pour une fois. Une agréable odeur de café chaud s'échappe dans la pièce et vient chatouiller les narines d'Artémise.

« Allons, debout, paresseuse ! » Elle étire ses membres engourdis, se lève, enfile un kimono plutôt qu'un peignoir.... C'est de circonstances, non ?

Tout baigne... sauf qu'après le bisou d'usage à son tendre et cher, vient cette question qui n'a rien d'innocent : « Dis, Sergio, hier soir, t'étais où et avec qui ? 

Sûr qu'il va l'envoyer promener ou simplement détourner la conversation. Mais non ! Son compagnon arbore un large sourire.

  - Tu sais quoi, ma chérie ? Hier, j'étais au musée des Beaux-Arts, en compagnie de Monsieur le Conservateur soi-même, ouais ! »

Artémise le regarde, d'un air légèrement incrédule. Là tout de même , ça lui en bouche un coin. Son anarcho-surindépendant décalé de mari lui dit toujours pis que pendre des corps constitués, de l'académisme et de l'Académie, item de tous les érudits patentés qu'il croise sur sa route et qualifie suivant son humeur « d'enfileurs de mouches » ou de « dinosaures irrécupérables ».

Ça, c'était hier. Mais aujourd'hui, tout a changé. C'est avec considération que Sergio parle de Monsieur Onésime Lebranchu, Surintendant du Patrimoine et Directeur du musée des Beaux-Arts.

Artémise, à force de presser de questions son époux, reconstitue ses pérégrinations, elle arrive petit à petit à reconstituer le fil des évènements.

Instant zéro de la folle journée : Sergio sort de la Chapelle des Pénitents blancs, son tableau sous le bras. Devinette : que va-t-il en faire ? Figurez-vous qu'il s'est mis en tête de percer le mystère de l'oeuvre qu'il vient d'acquérir. L'homme au chapeau bleu, ce rescapé sans feu ni lieu, l'intrigue, il veut absolument connaître son origine, son histoire. Étape numéro un : Sergio prend des vues en rafale du panneau. Il le mitraille sous tous les angles, sous toutes les coutures, en long en large et en détail, en lumière naturelle, puis artificielle, éclairage frontal, puis oblique. Étape numéro deux : passage de l'oeuvre aux rayons X. Sergio fait établir par un copain toubib une ordonnance bidon, court au cabinet d'imagerie médicale le plus proche afin d'obtenir une radiographie du tableau. Ses investigations ne s'arrêtent pas là. Ce ne sont là que simples préliminaires par rapport à l'enquête qu'il entend mener. C'est à ce stade que Sergio dépose au salon de coiffure l'original, bagage encombrant dont il n'a désormais plus besoin. Muni des précieux clichés et de la carte-mémoire de son appareil numérique, il se rend à fins d'expertise au Laboratoire du Musée des Beaux-Arts.

Le personnel de service reçoit plutôt fraîchement cet artiste à la réputation d'extravagance établie. Heureusement, l'adjoint de Monsieur Lebranchu a la bonne idée de jeter un coup d'oeil les photos. Cet homme perspicace et consciencieux s'intéresse à l'oeuvre dont il s'agit, cherche dans sa mémoire des points de similitude avec des tableaux plus ou moins connus. Un logiciel d'identification en Histoire de l'Art lui propose un choix de compositions comparables offrant les mêmes caractéristiquesque ce qu'il a sous les yeux  : silhouettes oblongues, contours fondus, barres gris lumineux sur fond jaunâtre ou vert glauque.

« Sacré nom de nom !!!! » s'écrie-t-il soudain, signe évident qu'il est sur une piste intéressante.

L'adjoint pressent une attribution qui va faire date. Il appelle illico le Conservateur en personne. Ce dernier va-t-il corroborer son intuition première ? Le suspense est insoutenable ! L'assistance retient son souffle. Après un quart d'heure de silencieuses cogitations, le visage du boss s'illumine, son verdict tombe comme un couperet :  «Bonne pioche, Monsieur Buonumano ! Vous avez mis la main sur un Nicolas de Staël de la dernière période ! « Figure debout », Ménerbes, 1953, collection particulière. Ça vous dit quelque chose ? Aucun doute, il s'agit là d'une oeuvre jumelle, bien que non signée. On reconnaît ici la patte du Maître. Toutes mes félicitations ! »

HIBAKUSHA 

Sergio s'enthousiasme tellement qu'Artémise, habituée à ses accès de volubilité ne parvient plus à endiguer sa dysenterie verbale. Au fond, la conclusion seule importe :

«  Grâce au tableau, nous allons être riches, ma chérie. Alors, pas belle, la vie ? »

Elle aussi pleure de joie. Elle va pouvoir enfin réaliser les travaux, qu'elle projette, moderniser l'équipement de son salon de coiffure. Soudain, elle blêmit, s'effondre en larmes :

«  Le Survivant, nous ne l'avons plus, il vient de partir à la décharge ! »  avoue-t-elle à son mari....

Postface :

   "Le Survivant " n'était pas définitivement perdu, pas pour tout le monde en tout cas, puisque l'auteur de la présente nouvelle a trouvé cette oeuvre au rebut, ni signée, ni datée, ni titrée. Elle gardera donc à jamais son mystère... Il restaot à lui trouver une histoire, voilà qui est fait.


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Commentaires
T
Bonjour,<br /> <br /> L'histoire est intéressante !<br /> Le style est sans maladresse bien qu'un peu scolaire dans le sens où il apparait appliqué, surtout sur le plan du choix d'un vocabulaire essentiellement soutenu. Quelques inversions de l'ordre des mots dans la phrase pourraient être utilisées pour donner un peu plus de rythme à l'histoire.<br /> Bonne continuation...
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